Hintergrundinformationen zu unseren Spielerinnen und Spielern der 1. Mannschaften

Portier Paule (1998)
Torhüterin
Ein paar Informationen zur Person
Je suis Paule Portier, j’ai 24 ans et j’habite aux Awirs un petit village qui se situe dans la commune de Flémalle.
J’ai obtenu mon diplôme d’éducation physique l’année passée. Je continue ma formation cette année avec une spécialisation en préparation physique et entrainement qui me permettra, je l’espère d’intégrer la Défense en tant Physical Trainor Instructor.
Wie bist du zum Handballsport gekommen?
Il y a 4 ans, ma cousine m’a demandé si je ne voulais pas être gardienne pour l’équipe de handball de Flémalle car elle y jouait depuis un an. Donc j’ai décidé d’essayer et cela m’a directement plu. Et voilà j’en suis à ma 5ième saisons.
Was fasziniert dich so am Handball ?
En tant que gardienne, le handball en lui-même ne me fascine pas tant que ça mais ce qui me plaît tellement à pratiquer ce sport, c’est la compétition. Dépasser ses limites et atteindre ses objectifs.
Welche sportlichen Ziele verfolgst du im Handball, bzw. was hast du bereits alles erreicht? Wo siehst du dich in ein paar Jahren?
J’aimerai jouer en Division 1 belge que ce soit avec Eupen ou une autre équipe. Mon objectif pour moi est vraiment de monter de division et de m’améliorer encore et encore…
Je n’ai qu’un titre avec Flémalle, nous avons été championnes de LFH en 2015-2016.
Dans quelques années, j’espère avoir atteints tous les objectifs que je me serai fixé.
Was machst du, wenn du kein Handball spielst? Bist du ebenfalls Trainer oder welche anderen Freizeitaktivitäten machst du?
Je travaille pour l’école, j’ai des stages à faire pour ma spécialisation donc ça me prend déjà pas mal de temps sinon j’aime sortir et voir mes amis
Wie schaffst du es das Trainingspensum mit Beruf/Studium und Privatleben zu vereinbaren?
Je m’organise au mieux afin de pouvoir faire tout à 100%.
Le fait que j’habite à 40 min d’Eupen est difficile car les jours d’entrainements en semaine, je ne mange jamais avec ma famille. Le WE, quand c’est jour de match, c’est pareil. Les horaires sont assez difficiles mais je m’y suis habituée et j’aime l’équipe dans laquelle je suis, j’aime m’entraîner avec elles donc jamais une fois je me dis que je n’ai pas envie d’y aller.
Pour ce qui est de mes études, il n’y a pas beaucoup d’impact à part bien sûr quand Phillip fait un entrainement trop physique et que le lendemain à 8h je dois faire un fartlek dans les bois du Sart-Tilman.